Antonio Fazio, l’ancien gouverneur déshonoré de la Banque d’Italie, a prévenu, à la blague, en 1998, que l’euro ne serait pas le paradis, mais un «purgatoire» qui exigerait des années de douleur et de sacrifice.
Le pays a beaucoup gagné de son adhésion à la monnaie unique au cours de la dernière décennie. Il s’est notamment libéré des fluctuations sauvages qui ont entaché son anciennne monnaie sur les marchés des changes et à tirer profit des faibles coûts d’emprunt.
Mais il ne s’est pas purgé des fautes qui ont faitde l’Italie l’économie la plus stagnante en Europe depuis une décennie.
(Adaptation et traduction libres)
@ Job Market Monitor: How will Italy go out of euro purgatory ?
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